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Chapitre 4, La vie au 17 ième siècle

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Aliénor C. Goyle
Aliénor C. Goyle
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Arrivé le : 03/11/2013
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message posté par Aliénor C. Goyle le Jeu 16 Jan - 6:13
Chroniques de l'archiviste Muriel:

"Lorsqu'elle ouvrira la porte qui renferme les secrets, elle laissera couler de son corps des gouttes de son âme"
C'est bien gentil, mais quelle porte? Quelles gouttes? Il fallait qu'on sache comment elle pouvait être vaincue...


Chapitre 4: La vie au 17 siècle



Si elle avait eut un coeur qui battait, Laurelyna aurait sentit son coeur battre à cent à l'heure. Elle se truvait sur le perron de cette demeure qui fut la sienne, aux côtés de Loreleï, qui l'invitait à rentrer. Encore que, un peu réticente à la réaction de ses parents et grands parents. Mais ils n'étaient pas là. Loreleï passa la porte et tendit sa main à Laurelyna.

-Viens, ne me dis pas que cette maison te fait peur.

-Non, c'est juste qu'il y a si longtemps que je n'ai pas été invitée à entrer. La dernière fois, c'était le jour de ta naissance, et je ne suis entrée que parce que tu étais née...

Elle entra et sourit, regardant partout. C'était étrange, cette nostalgie qui la prenait. Ces meubles, les mêmes que dans ses souvenirs humains, enfin, quelques uns. Le temps avait fait son office. Elle s'approcha d'un portrait et le caressa doucement.

-Il était beau hein? Mon petit frère...

-Tu es encore plus belle...

-Merci mon ange...

Laurelyna sentit une présence dans la maison, et sourit. Il était encore dans son bureau. Elle prit la main de Loreleï et l'entraina en haut, dans le couloir et s'arrèta devant une chambre qui n'avait pas été ouverte depuis des siècles. Elle passa sa main dans son corset et sortit d'entre ses seins une minuscule clé dorée qu'elle glissa dans l'entrée prévue pour. Elle la tourna, et on entendit tout un mécanisme se mettre en route. Puis, un déclic et la porte s'ouvrit. Laurelyna regarda, rien n'avait changé, absoluement rien. Elle eut comme un pincement au coeur et des larmes coulèrent de ses yeux. Elle les essuya d'un revers de main. Il ne fallait pas pleuré. Ce n'était pas bon pour elle et pour le monde. Elle renifla et entra dans cette pièce, son ancienne chambre.

-Laurent à lancé un sort de conservation. C'est si attentionné de sa part. Viens, entre... Regarde, il y a un portrait de moi, de ce que j'étais quand j'étais humaine. Et puis...

Pendant que Loreleï admirait la beauté de son ancêtre, Laurelyna fouillait dans son armoire, et en sortit une robe bleu ciel, qu'elle tendit à son amante.

-Pour le bal, je veux que tu mettes celle-ci. C'était ma préférée quand j'étais humaine, elle mettait mon teint, celui que tu as aujourd'hui, un teint laiteux. Maintenant, j'ai un teint ivoire, et je mettrais ma robe bleue nuit.

Tout à coup, la porte d'entrée s'ouvrit, et Laurelyna put sentir trois nouvelles odeurs, les parents et la grand mère de Lorelei. Elle s'attendait au pire. Ils allaient la reconnaitre. Les parents avaient vu des chaussures dans l'entrée, et arrivaient en haut des escaliers. D'une voix toute petite, elle dit au couple et la vieille femme.

-Bonjour Lucas, bonjour Laure-Anne. Bonjour madame DeLavallée, heureuse de rencontrer celle qui a réussir à prendre et à donner son coeur à Lucas.

-Gab... Gabrielle? Mais tu...

-C'est moi Laure-Anne, désolée de vous avoir caché la vérité...

Laure-Anne donna une baffe à son ancienne amie, et tocqua à la porte du bureau.

-Mon ours à la guimauve? On a une visite...

-J'arrive mon canard à la crème...

Laurelyna regarda Loreleï, puis Laure-Anne, et Lucas, qui était rouge pivoine et éclata de rire. Lucas referma sa bouche, toujours de la même couleur.

-Mais... Gabrielle, tu es... Tu es toujours la même...

La porte du bureau s'ouvrit, un vieillard avec des lunettes sortit sa tête, regarde Laurelyna, et claque la porte.

-Mon ours à la guimauve? Je t'ai apporté un livre... Tu vas pouvoir leur apprendre comment me tuer, moi, Laurelyna DeLavallée.

Laure-Anne et Lucas la regardent et soupirent. Ils avaient tous les deux étés si proches de Gabrielle, celle qui étaient sencée les tuer. Mais au contraire, elle avait toujours tout fait pour leur bonheur. Ils ne comprenaient pas. Loreleï leur explica, pendant que Laurelyna déposait un livre devant la porte du bureau et entrait dans son ancienne chambre pour prendre ses anciens vêtements dans une valise, laissant la robe bleue ciel sur le lit et tira Loreleï.

-Viens, je vais t'habiller, tu iras leur montrer comme tu es belle dedans...

Elle ferma la porte à clé et déshabilla Loreleï rapidement, lui souriant. Elle était si belle. Elle lui caressa la poitrine doucement. Elle était si belle. Elle lui murmura à l'oreille qu'elle voulait lui faire l'amour, la chambre étant insonorisée. Loreleï rougit, et elle aquièsca d'un signe de tête. Laurlyna se mit à genoux et commenca à lui caresser son entre jambes. Loreleï gémit, et frémit, pendant que Laurelyna approchait ses lèvres et sa langue de l'intimité de la jeune femme. Doucement, sa langue commença à caresser le clitoris de la belle qui se cramponna aux cheveux de la vampire, gémissant. Elle avait eut du plaisir, petit à petit avec Laurelyna, mais jamais elle n'avait ressentit ça, elle n'avait jamais osé se toucher, de peur de se faire mal. Mais Laurelyna était si douce, si... Elle se cambra quand elle sentit un doigt s'insinuer en elle. Mais, pour l'instant, Laurelyna ne voulait pas lui faire perdre sa virginité, elle voulait y aller tout en douceur, toujours plus loin, mais toujours en douceur. Elle ne lui prendrait sa virginité que plus tard... Quand elle eut donné du plaisir à la belle, elle enleva son doigt, le mit dans sa bouche et sourit.

-Je vais t'habiller maintenant, et après... désolée de te demander ça mais... As tu de la viande saignante? Je ne suis pas au meilleur de ma forme, et un peu de sang serait le bienvenu...

-Tu te nourris de sang animal?

-Parfois, ou d'humains, ou même de vampires... Mais je ne vais pas prendre du sang humain ici quand même... Viens, laisses toi faire, et ensuite, tu iras voir tes parents...

Laurelyna aida Loreleï à enfiler la robe et la coiffa dans un chignon élaboré. Puis, elle la maquilla et contempla son oeuvre.

-Tu es magnifique, tu feras un malheur, vas voir tes parents...

Loreleï n'osait pas se regarder dans le miroir, et descendit vir ses parents et sa grand mère. Alors que Laurelyna entendit les pleurs de joie de la mère de sa bien aimée, et l'exclamation des deux autres, elle ouvrit la porte du bureau et s'engouffra dedans pour aller voir le grand père.

-Tu as vieillit... Tu m'en veux toujours?

-Oui Majesté, vous avez fait de moi un jouet... Votre...

-J'en suis désolée, je n'étais pas conciente que ça te faisait si mal, je voulais te rendre service... Toi qui a toujours aimé les prophéties. Mais tu as rencontré Laure-Anne grace à moi non?

-Oui...

-Lis bien le livre que je t'ai donné, si tu veux vraiment me tuer, je te préviens, il faudra déjà que tu tues ta petite fille... Quand je suis venue pour dire son avenir, je savais ce qui m'attendait. Ce sera ma fin. Bientôt, je vais mourir. Je n'y peux rien. A moins qu'elle n'en décide autrement. Mais je ne peux pas me résigner à faire ça. Je ne veux pas qu'elle devienne une vampire. Je ne veux pas qu'elle soit à mon service, mais si elle meurt je... J'en mourrait. Lis le livre, et tu comprendras...

Elle sortit, tête basse, elle était trop sentimentale, trop surtout dans cette maison. Elle sentit du sang et descendit, voyant la côte de boeuf pour 6 dans une assiette, posée pour elle. Elle regorgeait de sang. Elle s'en saisit et bu tout le sang. Quand elle eut finit, elle regarda les autres qui la dévisageaient.

-Je vous rembourserais, soyez en sûrs...

-On a discuté... On s'est rendu compte qu'en fait, tu ne voulais pas notre mal, comme on le croyait depuis si longtemps.

-Oui, je sais, je vous expliquerais ça... J'ai déjà commencé... par écris. Je donnerais ça à Loreleï... J'y vais... Ma belle, on se retrouve demain soir pour le bal. Je te remaquillerais et te coifferais... Je prends les robes, et je laisse la chambre ouverte. Faites-y ce que vous voulez... Mais si vous ne voulez pas de mon portrait, donnez le moi...

Elle sourit et partit rapidement chez elle, emportant les robes.

Le lendemain, au lycée, elle attribua une robe à chaque fille de la classe de Loreleï, puis les aida à s'habiller, pendant que les garçons mettaient leurs costumes. Ils se sentaient serrés.

-Gabrielle?

-Hum?

-Tu mets pas de robe toi?

-Si si, elle est dans ma chambre, je la mettrais après. La salle est décorée, tout est près, il ne reste qu'à danser, comme à cette époque. Vous vous rappelez les danses?

-Oui... Le bransle, gavotte avec permutaions des danseurs, puis le menuet.

-Parfait... Voilà, aux coiffures, et ensuite... le maquillage...

-Ouaaaaaah, DeLavallée est trop belle dans cette robe, pourquoi elle a eut la plus belle?

-Parce que c'était la préférée de Laurelyna.

Elle commença à coiffer une fille, puis, ensuite, les filles s'aidèrent mutuellement pour leurs coiffures. Ensuite, le maquillage. Quand ce fut près, Laurelyna les laissa aller dans la salle, décorée comme à l'époque des bals masqués. Elle, elle monta, et se remit devant son miroir, enchantée. Elle se déshabilla, et mit son corset bleu nuit, ensuite, sa robe. Elle allait enfin vivre ce bal qui lui avait tant manqué, le bal des débutantes, qu'elle aurait du faire peut après être devenue vampire. Elle se fit un chignon si compliqué qu'elle connaissait pourtant si bien à cette époque où elle était humaine. Puis, elle se maquilla, un maquillage qui allait mieux à son teint ivoire. Quand elle eut finit, elle alla voir dans la salle, où tout le monde était en train de s'admirer. Le silence se fut, et tout le monde la dévisagea. Elle avait toujours était belle, et elle le savait. D'un pas frébile, elle s'avança vers Loreleï, et lui fit une petite révérence, et l'emmena dans une danse à deux, le bransle. Tout le monde les suivit, sous le regard émerveillé de ceux qui étaient invités pour assister au spectacle. Laurelyna avait prévenu les journalistes de cette soirée, qui ferait paraitre celà dans le journal du lendemain. A la fin du bal, Laurelyna embrassa Loreleï devant tout le monde. Loreleï avait enfin accepté ses sentiments pour la belle vampire et y répondit, se collant à elle.

Le lendemain, dans les journeaux, on voyait surtout des photos de la jolie surveillante qui dansait, comme si elle avait toujours fait celà. Même dans les journeaux télévisés, on ne voyait presque que elle. C'était moche pour les autres, mais Laurelyna avait toujours été la plus belle depuis sa naissance...
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