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Chapitre 5 : Nouveau pays, nouveaux soupirants

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Raven Queen
Raven Queen

Arrivé le : 12/01/2014
Messages écrits : 185
Avatar : Lucy Hale
Métier : Lycéenne
Où est-tu ? : à la recherche de mes origines, avec l'aide de ma meilleure amie et de ma famille de coeur, je découvrirais la vérité

message posté par Raven Queen le Jeu 16 Jan - 4:21
Aujourd’hui, lundi matin, Gabriel et Victoria sa fille prennent l’avion. La petite fille est très excitée, elle saute partout, court partout. L’écrivain a du mal à la tenir. Mais il comprend son excitation. Ils allaient tous les deux faire leur baptême de l’air. Ils sont tous deux en première classe. Pour calmer l’enfant, Gabriel lui prête son ordinateur pour qu’elle s’amuse avec. Mais Victoria lit le nouveau roman de l’écrivain. Gabriel ferme les yeux et s’endort. Il est alors réveillé par une main qui le secoue.

-Maman ! Ton ordinateur s’est éteint, il veut plus s’allumer.

-Il n’y a plus de batterie. Dors un peu, on a encore un long voyage.

-« Maman » ?

Un homme d’âge mûr, sûrement la quarantaine, se retourna vers lui, amusé, alors que Victoria s’endormait sur les genoux de Gabriel.

-Pourquoi cette enfant vous appèle maman ?

-Ce ne sont pas vos affaires.

L’homme vint se placé aux côtés de Gabriel et lui sourit, ne se gênant pas pour le regarder, le déshabillant du regard. L’écrivain était rouge pivoine.

-Il est indéniable que vous êtes un jeune homme, très attirant de plus.

-J’ai quelqu’un dans ma vie.

-Ce qui est bien dommage.

-Révisez votre plan drague, vous n’attraperez personne comme ça.

Déçu, l’homme laissa l’écrivain tranquille pour le reste du voyage. Quand l’avion atterrit, le jeune homme et la fillette se précipitèrent dehors et Gabriel aperçu son petit ami. Il se précipita sur lui pour lui sauter au cou et l’embrasser à pleine bouche. Victoria vit ça et croisa les bras en colère. Elle s’approcha du couple et tira la langue à Bruno. L’acteur se demanda qui pouvait bien être cette enfant qui le regardait avait insistance. Gabriel quitta les bras musclés de son petit ami et prit la fillette dans ses bras.
-Bruno, je te présente notre fille. Vicky, je te présente ton papa !

-Quoi ? ? ?

Demandèrent-ils tous les deux en même temps.

-Je veux pas que lui, ça soit mon papa.

-Une fille, mais, il y a tellement de choses encore à régler, à faire. C’est beaucoup trop tôt. Je n’étais pas prêt. Maintenant que c’est fait…

La fillette lui tira de nouveau la langue et Bruno soupira. Quand ils montèrent dans la voiture, le couple devant et l’enfant derrière, Bruno se pencha à l’oreille de Gabriel.

-Moi qui voulait te faire l’amour, on va faire comment avec elle dans nos pattes ?

-Quand elle dormira…

Il l’embrassa doucement en lui caressant le visage et ils partirent juste après. Gabriel et Victoria regardaient le paysage, ils aimaient beaucoup cet endroit, c’était si différent de chez eux. Gabriel sourit, il savait déjà en quoi constituerait son prochain roman ? Après un voyage assez long, ils arrivèrent chez Bruno, à Hollywood. Bruno montra aux jeunes français où ils allaient dormir. Victoria se trouva dans la chambre à l’extrême opposé de la chambre du couple. L’enfant rentra dans sa chambre, et dés que ce fut fait, Gabriel annonça qu’il voulait prendre une douche, faisant un regard plein de sous entendus à son petit ami. Ce dernier sourit et l’accompagna sous la douche. Il y avait si longtemps qu’ils b’avaient pas pu voir le corps de l’autre. Bruno ouvrit la bouche, stupéfait, en voyant le torse dénudé de l’écrivain. Il toucha les pierçings de son copain. Ce dernier gémit et se blottit contre le torse musclé de l’acteur.

-Tu… Tu t’es fait percé les tétons ?

-Oui, pour toi.

-Mais je ne t’ai jamais demandé ça.

-Je sais, c’est juste que je voulais mettre un peu de piment dans notre vie sexuelle.

-D’accord, alors je vais en profiter.

Bruno tira légèrement sur les pierçings qui fit gémir de plaisir son amant.

-Je ne te savais pas comme ça. Je croyais que tu n’aimais que la douceur, tu es si délicat, mais si tu aimes autre chose, ça ne me gène pas… Et si tu me faisais plaisir ?

Gabriel sourit, entra sous la douche et régla l’eau pour qu’elle soit assez chaude. Bruno l’y rejoint et l’écrivain se mit à genoux, puis il caressa un peu la verge de son amant avant de la prendre en bouche, ce qui provoqua un irrémédiable gémissement de bonheur de ses lèvres. Au bout d’un certain nombre de vas et viens, Bruno se retira de la bouche de son partenaire et le leva doucement , le retourna les jambes écartées, le torse contre le mur. Appuyant son torse contre le dos de l’écrivain, il s’enfonça en lui dans un râle de bonheur, les chaires de Gabriel se contractant contre sa virilité. Gabriel gémit, sans préparation, c’était à la fois si douloureux et si bon. Quand Bruno atteint enfin sa prostate, il commença de doux vas et viens, lui embrassant a nuque. Les clochettes aux tétons tintaient au rythme des assauts de l’acteur, quelle douce mélodie. L’acteur jouit et se retira de l’écrivain, haletant, puis le retourna doucement à jouir à son tour, prenant sa verge en main, et embrassant ses lèvres et son cou avec passion. Gabriel se sentait si bien. Il s laissa aller à ces douces caresses jusqu’à jouir. Bruno et lui se lavèrent enfin, repus de leur festin de chaire.
Pendant que Bruno préparait le repas, Gabriel alla rejoindre sa fille qu’il trouva endormie sur le lit. Il sourit, attendrit par la scène, et il la couvrit avant d’aller rejoindre son aimé. Il ne savait pas s’il devait lui parler de Kurt et du magnétisme de ses boucles. Puis, il se dit que ça pourrait lui nuire, donc il se tut. Bruno regarda son aimé qui commençait à travailler. Il se posait des questions, des questions sur leur couple. Gabriel était plus jeune que lui, il était plus immature parfois, mais tellement adultes dans d’autres moments. Mais il était tellement amoureux de ce jeune homme blond plein de vie. Il ne voulait pas être séparé de lui. Il fit un sourire, il voulait que son amant devienne son mari, et qu’officiellement, Victoria soit sa fille à lui aussi. Il éteignit les casseroles, et s’approcha de son petit ami qui avait commencé à travaillé sur son roman.

-Mon ange ?

-Mmmh ?

-Demain, toi et la petite, vous venez me voir sur le tournage ?

-Oui, bien sûr, on viendra.

Bruno se mit assit derrière Gabriel et commença à lui masser les épaules. Gabriel se détendit, sauvegarda son roman, éteignit son ordinateur et tourna sa tête vers Bruno pour l’embrasser. Le cœur de Bruno cessa de battre un instant, puis il reprit. Bruno allongea son ange sur le canapé et monta sur lui à califourchon. Il ouvrit sa chemise et s’amusa avec les pierçings. Gabriel gémit et s’amusa de voir que Bruno jouait avec les pierçings comme un enfant qui a reçu le cadeau qu’il attendait depuis longtemps. C’est alors que Victoria arriva, un boîtier en main, baillant, et s’essuyant les yeux.

-Maman ? j’ai trouvé ça dans mon sac, c’est quoi ?

Bruno prit le boîtier en main, interrogeant du regard un Gabriel rouge pivoine. Il actionna le bouton de la boite et les clochettes furent attirées par la table basse en fer. Gabriel s’y accrocha et Bruno demanda à la fillette d’aller prendre sa douche. Quand elle partit, Bruno regarda Gabriel qui n’avait pas bougé.

-Tu m’avais caché ça petit coquin. Tu es un vrai pervers.

-Je… S’il te plait, enlève-ça…

-D’accord, on s’amusera demain avec ça.

-Si tu veux.

Bruno lui embrassa la nuque et le libéra. Puis il appelèrent Victoria pour manger.
Le lendemain, Bruno réveilla son amant qui alla réveiller à son tour la fillette. Puis, après un copieux repas, le couple et leur fille se rendit au plateau de tournage du film. C’était un film d’action où Bruno était le héros. Gabriel admirait son petit ami assit sur une chaise, même s’il était jaloux lorsque Bruno devait embrasser une femme. Il se répétait sans cesse « c’est juste du cinéma ». La fillette quant à elle, s’amusait à regarder comment on faisait les effets spéciaux. C’est alors qu’on homme assez mignon vint discuter avec l’écrivain.

-Vous êtes fan ?

-Oui, en effet, je suis son meilleur fan.

-Je suis son petit ami…

Gabriel faillit s’étrangler et regarda l’inconnu avec l’intention de le sanctifier sur place. L’homme se mit à rire et s’approcha de Gabriel pour lui dire à l’oreille.

-Je sais qui tu es… Si tu ne veux pas qu’on le sache, suis-moi.

-Et qui suis-je ?

-L’écrivain Mystère Ange, Gabriel Sratck.

-Je… je vous suis…

Qui était ce mec ? Il suivit l’homme dans une loge et se fit plaqué contre le mur. Gabriel regarda, effrayé, l’homme s’avancer vers lui dangereusement pour l’embrasser. Mais l’inconnu se fit happé vers l’arrière par Bruno qui avait vu la scène. Jaloux, il avait suivit son petit ami. Il avait bien fait.

-Gabriel, ça va ?

Tremblant comme une feuille, le jeune écrivain se blottit contre l’acteur qui le serra contre lui, dans l’espace protecteur de ses bras.

-Je… Où que j’ailles, on me… Ne me quittes pas, je veux toujours être avec toi, toujours.

-Je ne te laisserais pas mon amour, je te le promets, calme-toi. Je t’aime.

Il l’embrassa doucement sur le front pour le calmer. Quand le flot de ses larmes fut tarit, Bruno le ramena à la maison, il ne lui avait pas poser de question, il lui tenait juste la main. Ce contact semblait rassurer le jeune français. Quand ils arrivèrent enfin à la maison, Victoria se mit devant la télévision pour essayer de voir quels effets spéciaux étaient utilisés. La laissant là, le couple monta dans sa chambre, et Bruno étendit Gabriel sur le lit, puis se mit assit à ses côtés, lui caressant ses longs cheveux blonds. Gabriel se blottit contre lui, et alors, l’acteur se décida à parler.

-Gabriel, qui a abusé de toi ? Qui a tenter ?

-S’il te plait, ne me force pas à le dire…

-Je suis inquiet, je veux pas qu’on touche à toi, je t’aile, tu m’appartiens.

Gabriel eut un petit sourire, s’accrocha à Bruno pour qu’il se penche, et l’embrassa doucement. Il lui caressa le visage.

-Ne me force pas à le dire, je ne suis pas encore prêt. Je veux sentir que je n’appartient qu’à toi. Fais moi l’amour comme tu ne l’as jamais fais… Je veux te sentir en moi, profondément en moi, n’appartenir qu’à toi…

-Ne dis pas ce genre de chose mon ange, ce n’est pas le moment, tu es si…

-Habitué… Et je veux que tu me laves de ces mains sales qui m’ont touché.

Bruno soupira, il comprit le message, Gabriel ne voulait être touché par personne d’autre que lui, et si quelqu’un d’autre le touchait, il se renfermait sur lui. Pauvre petit ange. Il lui caressa le visage et l’embrassa doucement. Puis, il lui enleva le haut et vit les pierçings. Oui, c’était vrai. Il joua avec un moment, puis il montra d’un coup de tête le boîtier. Gabriel rougit et fit un signe affirmatif, oui, il voulait bien que son petit ami fasse de son corps son jouet, car il lui appartenait, corps, cœur et âme. Le lit en baldaquin de Bruno était fait de fer blanc, donc Bruno attendit que son cher et tendre soit totalement nu, et proche de la barre supérieure du lit pour actionner le boîtier. Gabriel poussa un léger gémissement, et tourna la tête pour voir ce qu’allait faire Bruno. Contre toutes attentes, alors que l’acteur pouvait laisser parler ses instincts les plus vils, il se montrait doux et attentionné avec Gabriel.

-Pourquoi Bruno, pourquoi ne t’amuses tu pas plus ?

-Tu es trop habitué à la violence, et tu es si frêle, je ne veux pas que tu souffres. Ce sera une douce caresse que tu ressentiras, et après, je veux qu’on jette ce boîtier, ça ne te ressemble pas. Tu es fait pour être dorloté, chouchouté, et non maltraité.

Bruno caressa doucement le dos de son amant, le parcourant de doux baisers. Il lui caressait également le torse et la verge. Puis, il s’allongea sous lui et prit sa verge en bouche. Gabriel gémit de plaisir, c’était si bon. Il se mordit la lèvre inférieure, et regarda faire son petit ami qui lui tendait sa main. Il ferma les yeux et lécha les doigts de son amant avec passion, puis les doigts quittèrent sa bouche pour aller se réfugier dans sa partie intime, l’écartant peu à peu. Gabriel gémit de plus belle, s’accrochant à la barre du lit, puis, sans avoir jouit, Bruno se retira, retira ses doigts et se plaça au dessus de lui pour le prendre doucement, délicatement, avec la plus grande douceur qu’il avait montré jusqu’ici. Pendant ses lents et frustrants vas et viens, il embrassait le dos ou la nuque du jeune français qui en demandait plus, plus vite. Mais Bruno en avait décidé autrement, et c’est tout en douceur que les deux amants jouirent en poussant un râle de plaisir. Bruno se retira, déconnecta le boîtier avant de le fracasser contre le mur et de prendre son amant dans ses bras. Ce dernier, les larmes aux yeux, s’endormit, heureux de se contact. Bruno comptait demander le jeune homme en mariage, mais il lui fallait l’accord de Victoria, et des parents de l’écrivain. Il devrait donc retourner en France pour cela.
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